• Une programmation alléchante pour la troisième édition du festival Résonances éléctroniques à Dijon.

    De l'éléctro, du dubstep, de la techno et de la drum'n bass, tout le monde y trouvera son compte.
    Rendez-vous à Dijon à partir du 12 novembre et sur MxP pour les reports de soirées.

     

     


    votre commentaire
  •                 Berlin s'invite à Paris à l'occasion de slick Berlin 09’ au Point éphémère…

                   On y retrouve une jeune anglaise, Sophie Higgins qui nous donne en début de set sa vision de Berlin. C'est un Berlin noisy, emplit d’ondes électriques, un Berlin actuel. Miss Higgins D.Y.I se lance ensuite dans un univers singuliers où les harmoniques de sa voix (d'une beauté incroyable)croisent les loops de sons électroniques générés par ses machines et son violons électrique…

    Elle livre un vrai live, matériellement palpable où l’instantanée drague la folie… une mise en scène, un décor appelant l’enfance… Le spectateur jongle entre moment intimiste d’une Sophie à genou dans sa chambre d’enfant à un réel dialogue. 

    Elle a crée un monde qui lui vas bien...

    Kiss me David Bowie...Oh kiss me...

    On vous recommande de voir Miss Higgins D.I.Y  jeudi 29 au Point Éphémère pour des duo avec Control Club.

    Ainsi que 7 novembre à la Loge.

    Miss Higgins une affaire à suivre de prés...

    Une interview et des extraits du live seront disponibles sur MXP d'ici peu... en attendant= http://www.myspace.com/sophiehiggins

     

    Audrey.


    votre commentaire
  • La soirée tant attendue du Francophonic Festival est enfin arrivée. Ce soir, l’électro française est à l’honneur.

    Les Naive New Beaters entament les festivités. Concert déjà terminé lorsque j’arrive, mais à en juger par l’atmosphère dans la salle et les impressions du public, le trio parisien a ravi les foules et les a bien préparées pour la suite de la soirée qui s’annonce des plus électriques.

    Le duo Make the Girl Dance, composé de Greg Kozo et Pierre Mathieu (présentateur tv sur M6) prend la relève pour un dj set énergique. Ainsi ils enchaînent les tubes pendant plus d’une heure. Des Daft à Boys Noize en passant par Goose ou encore Housemeister. Ils n’oublieront pas bien sûr de jouer leur morceau Baby Baby Baby, qui avaient fait un si gros buzz sur le Net avec son video clip.

    L’organisation nous offre ensuite une vingtaine minute de pause (bien méritée) le temps du changement de scène. Du coin du bar, je guette la scène et aperçois les techniciens installer tout un ensemble de machines en demi-cercle. Pas de doute Yuksek est le prochain.

    Au premier coup d’œil, je remarque que depuis la dernière fois que je l’ai vu (Transmusicales 2007) le nombre de machines qui l’entoure a nettement augmenté. Lorsqu’il arrive sur scène, le public l’acclame haut et fort et l’on comprend vite que la plupart des gens sont là pour lui. Il nous offrira un live de qualité dans lequel s’entremêle tubes (Tonight, Extraball) et autres nouveautés par encore dans les bacs. Du très bon Yuksek !

    Arrive ensuite le très attendu DatA. A ma grande déception, il nous fera un dj set et non un live. Dj set que je qualifierais de « bien mais pas top ». Il est vrai qu’après les 2 sets précédents, la barre avait été placée haute. Mais malgré une sélection de qualité, cela ne suffira pas à garder le public dans la même extase.

    On retiendra donc de cette soirée une découverte Make the Girl Dance : à revoir. Yuksek a comblé toutes nos attentes et même au-delà. Quant à DatA, il faudra le revoir (en live) pour porter un jugement définitif.

     

    Berlinement vôtre

    Marcelain.

     


    votre commentaire
  • 20h et près à rejoindre la Kulturbrauerei où doit se dérouler la 4e soirée du Francophonic Festival. Un petit tour sur facebook juste avant de partir et horreur ! Que vois-je ?? Mansfield Tya annulé. Les deux nantaises sont restées bloquées à Orly en raison d’un mouvement de grève. La déception est totale !

    Le concert est donc déplacé au Soupanova, un bar situé à Prenzlauerberg. J’arrive 5 minutes avant le début du concert. La salle, pas plus grande qu’un mouchoir de poche, est déjà pleine (environ 50 personnes).

    Sebastien Schuller arrive sur scène et entame son concert par un timide set de piano/voix. On ne le sent pas très assuré. Assez rapidement le ton monte, grâce à l’utilisation d’un beat electro assez ingénieux. Les effets sur la voix font malheureusement trop penser à Coldplay (dieu Knet sait combien on déteste). La température devient vite étouffante et nous sentons les spectateurs un peu sceptiques. Malgré un ensemble un peu décevant je pense qu’il ne faut pas en tenir rigueur à cet artiste en devenir. Son final a été touchant et plaisant.

    Il est vrai qu’un premier concert à Berlin, surtout dans ces conditions un peu particulières, pourrait mettre mal à l’aise mêmes les plus grands.

    Rendez-vous demain pour le compte rendu de la soirée Yuksek/DatA & Co...

     

    Marcelain

     


    votre commentaire
  • Housse de Racket          Stuck in the Sound

    Je suis à Berlin mais pourtant tous les gens autour de moi ne parlent que français. Que se passe-t-il ? Mais oui, bien sûr je suis devant le Lido. Fameuse salle berlinoise où se déroule la 2e soirée du festival Francophonic.

    Je rentre dans la salle et là, stupeur : 90% du public est français (oui j’ai quand même rencontré des australiens fans de son frenchie).

    Au premier abord la salle semble vide. Mais en cherchant de plus près je constate que la plupart des gens squattent la salle fumeur. Et oui même si on peut encore fumer dans la majeure partie des bars et clubs berlinois, certains endroit ,tel que le Lido, rappellent amèrement la France...

    Il ne faudra que peu de temps pour que tout le monde réintègre la salle et que deux jeunes parisiens vêtus de polos blancs s’emparent de la scène. C’est parti !

    Riffs de guitare basiques sur rythmes de batterie énergiques et soutenus, le ton est donné. Housse de Racket s’approprie la scène et nous accordera une heure de show très pop, accentuée de moments plus rock’n’roll pour finir sur une touche un peu plus electro.

    S’en suit l’arrivée sur scène du groupe Stuck in the Sound. Je remarque tout de suite que la salle est un peu plus pleine, et que le devant de la scène est parsemé de quelques groupies. Premier son de guitare et l’on sent que le ton change. Finie la pop et place au rock’n’roll. Présence scénique, précision et efficacité sont les maîtres mots de leur show. Les tubes s’enchaînent, le public danse, reprend les refrains en chœur et est sous le charme du chanteur (plus particulièrement la gente féminine).  Un concert plus Grunge que Shoegaze...

    Et comme le dit si bien l’adage « il faut garder le meilleur pour la fin », la soirée se clotûre par un set de Benjamin Diamond, ex 1/3 de Stardust (souvenez-vous Music Sounds better with you). M’attendant à un live, je fus surpris en le découvrant derrière ses platines. Mais quelle bonne surprise ! Malgré une salle quelque peu vide, il nous a offert un set assez frenchie remplie des tubes dancefloor du moment, permettant ainsi à tout le monde de finir cette soirée sur une touche d’enthousiasme très berlinoise...

    La suite le 13 octobre pour le concert de Sebastien Schuller et Mansfield Tya.

     

    Marcelain

     

     


    1 commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique